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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 04:02

                                    peek       
                                          Kim Peek

                                                           (1951-2009, cliquez link)


              http://www.dailymotion.com/video/xao4jk_reportage-kim-peek-le-plus-sa_webcam

 


                                                     Kim Peek, le "vrai" Rain Man, 
                             il pouvait se souvenir de 12.000 livres en entier, notamment,
                                              il lui fallait 1 heure pour en lire un...

          L'homme que ses médecins comparèrent ensuite à un moteur de recherche sur internet.

       J'ai rencontré Kim Peek à trois reprises, et me fallut bien cela pour comprendre à qui et à quoi j'avais affaire, tant cet homme était déconcertant et impréssionnant, ayant en mémoire 12.000 livre entiers dont il pouvait retrouver le contenu très rapidement et faire des comparaisons, des liens inatendus au sens ou intelligence vient du latin interlegere qui signifie "lier entre", sans compter bien d'autres choses, comme des symphonies, des mathématiques, etc. C'était le plus grand savant du monde, ses médecins le considérèrent ensuite comme un moteur de recherche sur internet vivant, bien qu'en premier lieu il avait été considéré par préjugé comme un ignorant...

      La première fois que j'ai rencontré Kim Peek, il vint chez ma grand mère maternelle qui vivait au Mans, Résidence Pasteur, après le décès de son mari médecin, chirurgien, et Maire durant 40 ans. La présence de Kim Peek était incongrue, quelque peu surréaliste de se trouver ainsi dans le salon, très courtois cependant, gentil et même plus, il avait le coeur sur la main, et présentant en compagnie de son père, ses caractérisiques avec des radiographies du cerveau avec corps caleux manquant, la macrocéphalie, mais son discours choquait de part sa si grande richesse d'homme au syndrome du savant, j'avais l'impréssion de me noyer complètement par empathie. Qui plus est, par rapport à mon idée d'internet, il lui manquait des manuels techniques et d'ingénieurie dans son immense "bibliothèque intérieure".

         
J'avais déjà eu plusieurs fois l'occasion de parler à mon grand père maternel et à ma grand mère maternelle de mes idées originales et complexes, comme peuvent en avoir les hyperphrènes (https://hyperphrenes.wordpress.com
) quand il assument leur zébritude, concernant l'informatique en réseau comme moyen de culture et de communication au niveau mondial, en quelque sorte non pas des maisons de la culture, mais la culture dans la maison. Tout le monde aimant sans doute avoir un Kim Peek chez soi, si attachant, et même en mieux: un immense Kim Peek universel.

 

      Ces idées je les avais en parti trouvées en lisant très jeune Bourbaki, le mathématicien collégial, le premier tome sur la théorie des ensemble, que Kim Peek avait également dans sa bibliothèque intérieure, mais mon idée rejoignait aussi la Grande Didactique de Comenius et la Mathésis Universalis à la suite de Descartes, un pari à tenir avec de nombreux enjeux à gravir tel l'hymalaya.

         Ma grand-mère maternelle estimait qu'avec une telle idée  les gens auraient des petits corps et des grosses têtes, elle me disait que je l'ennuyais avec l'informatique, je lui avais rétorqué "et les libertés", ce qui m'avait amené à formuler l'idée de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL: link), avec pour commencer l'affaire Safari pour en démontrer l'intérêt, en plus d'une première Commission, celle d'Accès aux Documents Administratifs (CADA: link) que j'avais eu avec mon grand-père qui m'avait posé la colle de savoir comment je ferais pour avoir des documents adminsitratifs dont il était fait rétention.

        Alors, ma très farceuse grand-mère maternelle avait du trouver le moyen, par le biai du monde internationnal de la médecine de me faire rencontrer un "homme ordinateur", ayant vraiment une grosse tête, le plus extraordinaire connu, à commencer dans sa physionomie, mais elle semblait moralement énorme quand on parlait avec lui, de plus en plus énorme, occasionant des fantasmes dont je n'en saisissais pas les limites, et j'avais l'impréssion d'avoir affaire à un monstre, surtout avec mon idée d'informatique mondiale, ce qui occassiona une direction d'idée : comment concevoir un univers logiciel facilement lisble et utilisable à partir de Kim Peek.

       Cette idée de monstre qui était pourtant un homme, simple et très gentil, m'ennena avec son accord à une première idée de film avant Rain Man avec Dustin Hoffman plus directement inspiré de Kim Peek, l'Eléphant Man, un ouvrage qu'il avait en mémoire, qui fut réalisé par David Lynch (1980), ce que demandais un jour au producteur français venu me voir ensuite Daniel Toscan du Plantier de chez Gaumont à qui je donnais aussi des idées, de productions européennes d'opéras comme Don Giovanni et pour finir avec lui, ayant rencontré Jacques Mayol avant,  l'idée du film le Grand Bleu.

      L'ironie avec Kim Peek était qu face à cette idée d'homme-éléphant, symbole de la sagesse, éait qu'il avait dans sa mémoire le livre The Elephant Man  de
Frederick Treves  qui raconte l'histoire de Joseph Merrick et qu'il m'avait relaté, ce qui fut inspirant. : 

 

   
                                                                            elephant-2.jpg
                    "Je ne suis pas un animal, je suis un être humain, je suis ...un homme

                   

 



         La question que posait l'affaire Kim Peek était d'inventer conceptuellement l'Idée au sens platonicien d'un ordinateur fonctionnant comme lui, et contenant aussi des livres, notamment, plein de livres, bien plus de livres, des bibliothèques entières, que je proposais numérisés, à l'échelle planétaire, ce qui semblait également tout aussi montrueux, et surtout encore plus grandiose.

       Grâce à son savoir gigantesque, Kim Peek aida à s'y retrouver, et l'idée émergea de la numérisation de livres et de bibliothèques entières, ainsi que de contenus audiovisuels inombrables et de la plus grande des encyclopédies avec des dizaines de millions d'articles en plusieurs centaines de langues, Wikipédia, Wikitionnaire et d'autres dictionnaires, et quantité d'autres sites, des millions, bien davantage encore...

       Je rencontrai alors une seconde fois Kim Peek à la sortie du film l'Elephant Man à Lannion, ville française des télécommunications spatiales où j'étais né, bercé dès l'enfance par les fameux bips du satellite Telstar, et nous articulions de nouvelles idées simples, c'est à dire réalisables, d'une part l'idée du film Rain Man, film plus humain que l'Elephant Man, personnage inspiré de Kim Peek mais présentant un autiste avec un syndrome savant, Kim Peek n'étant pas autiste, et d'autre part le moyen de réaliser l'ordinateur universel le dévoilant progréssivement, en le disant sans toutefois le dire. 
                                                    
                                                               rain-man.jpg

     Un troisième rendez-vous fut donc alors pris pour les deux aspects, rendez vous qui se déroula lors d'une fête forraine à Lannion (22300). Il faut dire que j'avais inventé quelques années avant pour les Rom, dont certains parmi les forains, leur drapeau, dont je leur avait offert aussi l'idée, drapeau qui est celui d'un Peuple et non celui d'un Pays, évoquant les gens du voyage et non ceux du livre, d'où l'idée de pouvoir voyager par un moyen très très pratique dans l'univers des livres du multimédia, dans l'univers des idées, et deux décrets, donc cela ne posait pas vraiment de problème pour organiser ce rendez vous. 

                                                        rom.jpg

       En premier lieu, il y eu Dustin Hoffman que j'avais déjà vu longtemps avant, lorsqu'il fut question de Little Big Man (1970), le titre Rain Man  provenant d'une association avec le chef indien ayant adopté Jack Crabb et montant en haut d'une montagne pour faire pleuvoir. D'autres idées de film lui furent données ainsi Kramer contre Kramer d'abord plus facile et pour lequel Dustin Hoffman remportait surement un autre oscar, et Tootsie avec un rôle plus paradoxal.

        L'histoire de Rain Man, pour lequel Kim Peek remporta un Oscarfut brodée de toutes pièces avec des éléments de ma vie, ainsi que l'héritage prévu pour les 3 enfants de mes parents étaient de 3 millions de francs et que mon frère avait des crises de colère à mon encontre dont de me mettre à l'hopital, ce qui donnait une histoire orginale avec un frère plus soucieux, Charlie Babbitt se trouvant à l'hopital à la mort de son père.

      En deuxième lieu, en présence de Kim Peek qui cherchait dans sa vaste bibliothèque intérieure les éléments nécéssaires ou pour les inventer, une sorte d'immense manuel technique, on m'avait emmenné des boitiers d'ordinateur (pour être très concret) que j'avais demandé, des tours de différents formats, dont la moyenne tour était à mon sens le meilleur modèle, plutôt qu'une tour plus grande ou qu'un tour plus petite. Bien que la petite me donna d'autres idées, comme l'ordinateur portable, et même le netbook.

          Il fallait trouver le moyer d'intégrer simplement différents éléments, en premier lieu une disquette plus petite, 3,5 pouces que celle existant alors de 8 pouces qui n'était pas intégrable au boitier, une disquette tenant dans la poche d'une chemise, l'idée plus miniaturisée des clefs USB, ainsi qu'un tiroir pour la vision alors assez futuriste des CD-ROM et DVD-ROM, de la molette centrale de la souris qui pouvait aussi être optique et sans fil, le arobase, le système d'exploration d'internet, internet explorer, du modem routeur, des moteur de recherche comme Yahoo! ou Alta Vista, et encore Google qui les dépasserait, les pixels pour la numérisation d'images ou de texte (OCR). Le véritable problème était pour l'horloge interne la miniuaturisation de la pile, qui aujourd'hui sont vraiment minsucules, comme dans les montres actuelles, ou même pas de pile.

       Et comme tout ça prenait tout même trop de place, l'idée de l'ordinateur portable, et plus petit petit encore du notebook en format B5 et non plus A4 avec une camera intégrée, des hauts parleurs, la webcam, qui pouvait être découplée. Chacun pouvant avoir un petit grand Kim Peek chez soi, Litle Big Kim Peek.         

      D'autres personnes vraiment autiste Asperger étaient là, comme Daniel Tammet, devenu célèbre aussi, auteur de "Je suis né un jour bleu" et "Comtempler le ciel immense" avec lequel il fut question de logiciels de calcul, la calculette dont scientifique, et de gestion, et de l'intégration des logiciels les plus courants, traitement de texte, etc. la suite office, et les systèmes de traduction, ainsi que le calendrier universel.

 

         Je me heurtais néanmoins à un sérieux problème, celui du langage informatique pour ce que je nommais déjà la Toile, Vaste et Mondiale (World Wide Web). Il me fut proposé par la sureté qui nous encadrait (dont la DST, mais pas que, quelques personnes de la CIA étaient également là, ainsi que du MI6) le Cobol, mais je ne vis pas le rapport, ce qui fit partir Kim Peek, américain des Etats-Unis, car il comprenait déjà que j'allais tombé sur le bien commun, au sens du Commonwealth, non pas pour le site de construction que je savais être la Sillicon Valley en Californie, avec un premeir éssai de liason entre 4 universités très distantes, mais pour harmoniser l'ensemble, les grands promoteurs étant tous devenu KBE (Chevaliers de l'empire britannique).

          Alors je cherchais ensuite dans mes ouvrages de physique pour vérifier l'hypothèse du langage universel inventé par le physicien Niels Bohr, dans l'ouvrage les Prix Nobel de physique, éditions de Monaco. Cela semblait vraiment convenir et j'eu ensuite l'intuition que cela pourrait être réalisé par Tim Berneers Lee au CERN, celui-ci étant venu ensuite me rencontrer, les physiciens ayant en premier lieu besoin d'un tel moyen, une norme unique de langages informatiques et qui plus est dans la communauté scientifique internationale, qui est la chose la plus internationale qui existe.

         Je rencontrais indépendement ensuite Robert Noyce de chez Intel, avec ses deux accolites,  dont celui pour la Loi de Moore, avec un niveau que je dénommais Pentium pour les microprocésseurs en nanotechnologie premièrement chez IBM, et Bill Gates à la Foire du Trône en Ile de France pour le système d'exploitation Windows, nom inspiré du groupe les Doors, emprunté des Portes de la perception d'Aldous Huxley, d'où l'idée de "Chaos et Cyperculture" par Timothy Leary le chantre américain  du LSD ayant écrit que le PC - Personnal Computeur - serait le LSD du XXIème siècle au sens de  ses dimensions psychologiques et cosmologiques, d'un mot philosophique, et qui était aussi avec le physicien cosmologiste Stephen Hawking qui en écrivit "Une brève histoire du temps" et "L'Univers dans une coquille de noix", physicien travaillant avec le mathématicien Roger Penrose (au cas où le langage universel de Niels Bohr aurait été insuffisant).  

       La France ne présentait pas suffisement de potentiel de puissance industrielle pour réaliser l'éssentiel de tout cela,  c'est sans doute une grande puissance, mais ce n'est pas une très grande puissance, que j'avais même nommé hyperpuissance, comparée aux Etats-Unis, notamment, et même la Chinamérique, tant tout est marqué "made in china" dont le système de réseaux informatiques qui existait déjà avec aussi les liens entre universités avec le "système pan héllénique" (Sigma Ki, Théta Nu epsilon, etc.) ou au sens militaire avec Arpanet déjà existant, dans la Trégor Valley à Lannion, par exemple aussi, que j'avais nommé Pégase concernant aussi Sophia Antipolis et d'autres technopoles, puis Anticipa, il était possible d'envisager des choses d'origine françaises comme le minitel, le développement de la fibre optique, et aussi les écrans plats, mais pas vraiment l'ensemble que j'avais appelé "solution pour une petite planète".

                                                         radome.jpg

                              
                                                                      

       cliquez pour découvrir http://www.leradome.com/fr/cite-des-Telecoms-video  

      Pour éviter le monopole mondial, une autre idée aussi fut Linux issu des Nations nordiques  - Nations au sens du réseau dans l'éducation dont le seul équivalent bien que différent est le système panhéllénique aux Etats Unis qui se développe en Amérique de sud et dans le Commonwealth - avec un système d'exploitation et une suite de logiciels gratuite.   Car le réseau avant d'être informatique est un réseau humain.

 

 

Rain Man 

               

                                                                                     stroumpf-brico-copie-1.jpg                                

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© Pierre Sarlat   

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