Le christianisme ou de la secte du sans pénis
L'affaire est aussi curieuse que cela, mais qui pourtant se vérifie dans toute l'histoire du christianisme: "Jésus de Nazareth", de son vrai prénom Joseph, comme père charpentier, n'avait pas de pénis. il avait des testicules, il fallait tout de même en avoir pour faire ce qu'il a fait, mais pas de pénis. C'est la vie ( le sienne).
Son grand père paternel, nettementoublié dans tout l'histoire avec sa femme, et qui était égyptien, à tellement "mis le paquet", pour employer une exprésion du Rav Dinovitsz, Rabin à vraiment découvrir par son site internet composé de nombreuses vidéos; que ce n'est pas le prépuce qui est tombé, comme dans la coutume juive traditionnellle de la circoncision, dont l'origine est égyptienne dans l'antiquité, mais le pénis tou entier: l'ablation du pénis ... très original le petit "Jésus", dans son péché singulier: le péché original.
Durant son voyage en Egypte, payé par le grand père paternel de "Jésus" qui vraiement avait mis le paquet (de pognon) pour un tel voyage qui allait très loin, Anubis considéra le corps de l'enfant et chercha vainement où pouvait bien être le pénis, comme pour tout corps humain normalement constitué (qui plongé dans un liquide, etc. celui du baptème évidement, pour la question du péché original et non pas originel, d'où la nécéssité d'une nouvelle science: la pénissologie).
Sigmund Freud asserta dans son ouvrage policier "Moïse et le monothéisme" que l'homme Moïse était égyptien, il suputa que le tableau de Léonard de Vinci "la vierge, l'enfant Jésus Jésus et sainte Anne" où l'on voit la grand-mère maternel de "Jésus" recelerait un fantasme homosexuel de Vinci, mais il n'alla pas jusqu'à remarquer qu'il n'y a dans ce tableau (restauré au Louvre) de Léonard de Vinci, pas la généalogie paternelle de "Jésus", si ce n'est un arbre (généalogique ?) à gauche, mais uniquement sa généalogie maternelle: Marie et Hanah (sainte Anne), et que cette généalogie parternelle avant le pére de Jésus est ni plus ni moins qu'égyptienne.
Cette idée peut paraitre étrange, tout aussi sotte que grenue, tout cela n'est pas très catholique dira t'on, c'est du blasphème à l'état pur, mais alors pourquoi, non seulement la castration d'Origène, le seuil véritable imitateur historique de Jésus, mais à l'évidence que les plus dogmatiques religieux du christianisme que sont les officiants catholiques romains s'interdisent l'usage sexuel du pénis, soit la chasteté, la vraie ?
Tel est, pour faire psychanalyse, le refoulé originaire du christianisme ou, à tout le moins, sa scène primitive, son fantasme fondamental.
Premier exemple, facile: connu de tous les enfants, la miniature du moine qui, quand on lui appui sur la tête, fait sortir un pénis en érection. C'est le poiteau rose (prononcez: le pot aux roses).
Deuxième exemple, difficile: le psychanalyste iltalo-américain (parti au Brésil) Contardo Calligaris dans son éssai (raté) "Hypothèse sur le fantasme" (éditions du Seuil), à tellement raté son éssai qu'ils 'agit d'un discours réussi au sens de la formule de Jacques Lacan "Tout acte manqué est un discours réussi.
Troisième exemple, plus facile: Paul de Tarse, alias Saint Paul, le fanatique antisexualité après le numéro ce cirque céleste "Saul, pourquoi me persécutes-tu ? " (Texte: les pitres aux romains, pardon: Epitre aux romains).
Quatrième exemple, qui s'en déduit (psychanalytiquement): le retournement dans son contraire, soit que ce n'est pas "Jésus" qui n'avait pas de pénis, c'est sa mère qui était vierge, Marie, la Vierge Marie, tout un truc bien aussi.
Pour qui lit ce livre étrange: le monstre qu'il s'agit de faire jouir dans un couple pour ce psychanalyste italien donc forcément marqué par le catholicisme romain et le sacrement du mariage très jésuitique (c'est son cas de conscience) n'est autre que le corps sans pénis du Christ ... ben non, ce n'est pas de la merde, c'est à pisser de rire ... à faire pleurer toutes les chaumières.
Cette idéé à été présenté à la télévision depuis assez longtemps, par un castra (c'est à dire un chanteur castré réellement) chantant devant le pape Jean-Paul II, qui disserta ensuite longuement sur l'inuluctable culpabilité sexuelle chez les catholiques romains ... incroyable, mais vrai ... "c'est incroyable" pourrait dire le Rav Dinovitsz.Santo Subito répondirent kles fidèles sur la place Saint pierre à Rome à propos de Jean-Paul II: qu'il soit fait saint immédiatement. Rassurons nous il est déjà béatifié. C'est dommage, on aurait pu le momifier comme Salvador Dali près de Barcelonne. On aurait découvert le pot aux roses.
Et en plus, c'est passionant, nettement même, car comme il est écrit dans la Bible (donc c'est vrai) : "ce qui est folie pour les homme est sagesse pour Dieu". Telle est la vraie Passion du Christ. Fruits de la Passion.
Telle est la Révélation centrale du christianisme, il s'agit d'un apénissisme, et en voici une autre pour les temps futurs tellement c'est bien: à quand l'ablation du clitoris pour les nones ?
Thérèse Martin, carmélite de la petite voie, alias Thérèse de Lisieux, 33ème Docteur de l'Eglise, avait-elle un clitoris ? Thèse, antithèse, foutaise.
Nous ne sommes pas "Deux heures moins le quart avant Jésus Christ", comme pour le film qui porte ce titre, nous sommes 14 ans après la fin d'une telle bouffonerie deux fois méllénaire qui était "pour des siècles et des siècles", Amen (ta galette des rois).
Toutes les déclinaisons de cette question (de civilisation bien sur) sont possibles dans toutes les variantes du christianisme dont les trois principales sont, par ordre alphabétique : le catholicisme, l'orthodoxie, le protestantisme.
Les histoires sont bien connus, les prêtres orthodoxes peuvent se marier avant d'être prêtres, mais pas après, les pretres catholqiues ne peuvent pas se marier, les pasteurs oui, mais ils sont pas prêtres, etc.
L'une des dernières nouveautée dans un tel fabuleux Karma Soutra est qu'il existe des femmes évêques chez les anglicans qui, chez les américains, s'appelle épiscopals (autrefois épiscopaliens, mais comme il n'y a plus de lien ...).
Une autre variante majeur existe bien sur, celle ultérieure au christianisme, celle de l'Islam avec la polygamie, les harems, etc. ... rappelons que pour les musulmans si "Jésus Christ" est un prophète, ce n'est pas le fils de Dieu (ce dernier ayant fait l'homme à son image).
La suite bientôt (si Dieu me prète vie)
Copyright Pierre Sarlat