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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 20:00

Dieu, Woody Allen et moi

 

 

 

Allen Stevart Königsberg, né en 1935 à New York, alias Woody Allen, a parmi toutes ses oeuvres, écrit un livre fameux intitulé "Dieu, Shakespeare et moi".  

 

Dés lors pourquoi n'écrirai-je pas "Dieu Woody Allen et moi" ?

 

La chose est d'autant plus justifiée que Woody Allen a justement déclaré "Non seulement Dieu n'existe pas, mais chercher un plombier le dimanche", et, argument des plus décisif qu'il aimerait "être réincarné en éponge, car elle n'a pas d'ennemi". 

 

Je vais donc passer l'éponge:

 

Moins sérieusement, c'est très jeune en rencontrant notamment Dwight David Eisenhower que je lui demandais pour finir une brochette d'acteurs et de réalisateurs de talent, jeunes et prométteurs, avec quelques expérimentés quand même, pour exprimé de nouvelels choses, pour créer.

Ils arrivèrent un jour,
parmi les jeunes talents il y avait Woody Allen, Peter Falk, Dustin Hoffman, John Voight, Arthur Penn (déjà éprouvé), John Boorman, Schlézinger, etc... l'expérimenté était Walt Disney qui se tenait derrière, avait du mal à encaisser tellement ce que je racontais n'étais pas du tout son style 'Blanche neige et les septs nains", ainsi "Le Lauréat" pour lancer Dustin Hoffman qui sortait juste de l'Actor Studioavec les morceaux "Mrs Robinson" et "The Sound of Silence" joué par Simon & Garfungeld, Dustin Hoffman que je rattapais dans un rôle à sa mesure réalisé par Athur Penn qui me dit avoir fait le gaucher, donc c'était aprti pour un Western ambigu avec les indiens vu d'un coté et de l'autre et la bataille de Little big Hornavec le général Custer: Litle Big Man, puis un role "envers du décors": "Macadam Cowboy" avec John Voigt a peine si*oti de Délivrance que réaliserai John Boorman, Mcadam Cowboy qui épouvanta Walt Disney, mais moisn encore que M.A.S.H. 

 

Woody Allen ne fut pas le premier à qui je m'adressai, mais quand vint son tour, ce que je lui déclarais fut tel qu'il faillit me flanquer son poing dans la figure, d'utant plus que Allen est un athlète, aspect peu connu. Je lui répliquai de faire une psychanalyse ... qui, c'est connu,  dura des décénnies ... 

 

Ce que je lui demandai était de faire jouer ses parents juifs avec les moustaches et les lunetets de Groucho Marx dans un film intitulé "Prend l'oseille et tire toi" (Take the money and run", ce qu'il finit aps faire dans la mesure où je demandait que les fonds des Artistes associés laissé par Charlie Chaplin lui soit versé, pour d'utres films aussi dont "Tombe les filles et tais-toi" dont le vrai titre est "Play it again Sam" (Sam étant l'Oncle Sam, représentant les Etats-Unis), Bananas (sur les révolutionnaires sud américain), Lilly la tigresse (un film d'espionnage japonnais dont Woody Allen devait refaire la bande son), etc Et tpour finir un boeuf, Casino Royale où il devais jouer le cousin de James Bond refusant la mission et dont le château en Ecosse était détruit, tandis que Orson Welles jouerait Le Chiffre avec un téléphone rose.

 

Pas de quoi fouetter un chat .... le titre du livre non paru en France proposé alors à Woody Allen étant "Anarchy".

 

Vraiment pas de quoi faire du mal à une mouche ...

 

Quelques années plus tard Woody Allen revint pour de nouvelles idées à écrire et réaliser, ce furent Toutc eque vosu avez voulu savoir sur le  sexe sans jamais avoir osé le demander, Zelig, La Rose pourpre du Caire, Radio Days, Manathan, Annie Hall,  September, Comédie éroitique d'une nuit d'été, etc.

 


 

La suite bientôt

 

Copyright Pierre Sarlat

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